Le verlan est une forme d'argot français qui consiste en l'inversion des syllabes d'un mot, parfois accompagnée d'«élision », un type d'apocope, afin d'éviter certaines impossibilités phonologiques. C'est en inversant les syllabes de la locution adverbiale à l'envers que le terme de verlan a été créé. Aussi parle-t-on de formes verlanisées pour caractériser les vocables issus du verlan.
Sans être connues sous le nom de verlan, les formes de méthathèsess en français les plus anciennes remontent au Moyen Age et ont commencé à être utilisée par le peuple à partir du XVIe siècle, mais l'usage du verlan s'est particulièrement développé à partir de la Seconde Guerre mondiale. Initialement utilisé comme langage cryptique dans les milieux ouvriers et immigrés de la banlieue parisienne, il s'est rapidement répandu à toutes les classes de population, notamment grâce à son usage au cinéma et en musique15 janvier 2009
Comment faire le Cube de Rubik?
Ce casse-tête de la forme d'un cube porte ce nom pour une simple raison :
il a été inventé par le hongrois Rubik, Ernõ Rubik.
http://www.rubikscube.fr/
frangine
Depuis que tu es partie c’est le silence à table
Y a maman qui a mal vieilli papa est exécrable
Moi je viens de moins en moins je prétexte les études
Je prends tout ça de loin depuis qu’il y a ta fugue
Hé frangine qu’est-ce qui te prend
De jouer la fille de l’air
De prendre la clé des champs
Sur un coup de colère
Un coup d’colère
Depuis que tu es partie tout le monde cherche à comprendre
Et chacun donne son avis les mots ne sont pas tendres
Oh si jamais tu y penses fais-nous signe à l’occasion
Car c’est fou comme une absence remplit le vide d’une maison
Hé frangine qu’est-ce qui te prend
De jouer la fille de l’air
De prendre la clé des champs
Sur un coup de colère
Un coup d’colère
Depuis que tu es partie y a toujours ta chambre
Le poster au dessus du lit Bob Marley sa feuille de chanvre
Et la tête à Che Guevara sa révolution permanente
C’est vrai qu’y en a des combats pour une adolescente
Hé frangine qu’est-ce qui te prend
De jouer la fille de l’air
De prendre la clé des champs
Sur un coup de colère
Un coup d’colère.
Claudio ZARETTI
Comment séduire une femme?
« Il faut toujours se rappeler les fondamentaux, ou bien ce sont les fondamentaux qui se rappellent à vous ». C’est probablement la phrase qui me vient le plus spontanément à l’écoute de vos mésaventures dans mes séances de phone coaching. Aussi, et parce que nombre d’entre vous ne sont pas si familiers de Spikeseduction et plus largement des forums et courants de discussions tous dédiés à répondre à une seule question – comment séduire ? -, nous allons aujourd’hui reprendre l’essentiel, la base de la base. Avant de discuter de femmes et de séduction, assurez-vous que votre interlocuteur a compris et intégré les 5 principes suivantes, ou bien vous vous apprêteriez à labourer la mer.
I - Ne mettez pas les femmes sur un piédestal. Elle a peut-être les yeux de Bambi, le décolleté aussi plongeant qu’un plongeoir olympique, et les jambes plus longues que l’échelle de votre père dans le jardin, elle n’est qu’un être humain, trop humain, qui se ronge les ongles, qui peut mentir, manipuler, et qui fait pipi caca. Quelque soit votre inclination à projeter sur elle toutes les qualités que vous souhaitez trouver chez la femme de vos rêves (ce que Stendhal appelait la cristallisation dans son traité « De l’amour »), ne la traitez jamais comme une princesse, à fortiori lorsqu’elle ne vous a pas prouvé qu’elle en était une.
II - Ne soyez pas trop gentil. Quand vous aurez compris ça, vous aurez (presque) tout compris. La gentillesse (ou plutôt l’excès de gentillesse) est le love-killer, et le plus gros sujet d’hypocrisie féminine. Soyez gentleman, mais n’incarnez jamais, jamais « Mister Nice Guy ». Si vous ne me croyez pas, observez vos copines, et surtout lesquels des hommes de leur entourage les attirent le plus. Réponse : ceux qui semblent le moins s’intéresser à elles, qui sont imprévisibles, et ce faisant qui échappent à leur maîtrise.
III - Apprenez à vous taire. Je vous ai tout dit, sauf les détails, disait Pierre Costals à Solange dans Les Jeunes Filles. La croyance populaire veut que le niveau d’intérêt de la fille monte lorsque l’homme épanche son âme et lui fait tout partager, jusqu’au bonbon qu’il a volé à la boulangerie au CP et au complexe d’infériorité qu’il ressent en présence de sa petite sœur, aujourd’hui devenue dentiste alors qu’il est prof. Faux, et dangeureux. A long terme, ce genre de confessions trop intimes sépare, inexorablement. Gardez votre jardin secret, rien ne vous oblige à vous vider en elle comme un arrosoir à souvenirs.
IV – Apprenez à dire non. Croyez-le ou non, mais il arrivera vite, le moment où, dans les débuts de la relation, la fille va vous tester. Rendez-vous reportés et/ou annulés tester votre compliance, caprices sur le choix du film ou de vos amis, malentendus subis ou provoqués au sujet de ses ex, etc. Si vous avez tort, reconnaissez-le, et présentez vos excuses (une seule fois). Mais si vous n’avez rien fait de mal, maintenez votre position, et attendez que l’orage passe, ce n’est que du bluff. Montrez que vous savez dire non quand il faut, et vous marquerez des points qui comptent triple, bien plus qu’avec des bouquets de fleurs et des invits au resto à tout bout de champ.
IV – Apprenez à quitter The moment of truth. Elle doit savoir que si elle dépasse les bornes (comportement, intégrité, etc), vous allez partir, effacer son numéro de téléphone, et ne jamais vous retourner. Si vous transigez avec cette règle, si elle sait que vous ne partirez pas (ou que vous reviendrez), vous êtes déjà cuit. Vous ne le savez simplement pas encore.
"Commeuncamion.com"